Arrivée

L'avion se posa sur le sol, à quelques mètres du village seulement, à demi caché par la végétation. Sephiroth sauta à terre puis se tourna vers les autres.

"Nous devons d'abord evaluer l'ampleur des dégats."

Tout était silencieux, et lorsqu'ils arrivèrent au village, il n'y avait personne.

Ethana fut surprise par le silence de mort qui régnait dans le village, c’était mauvais signe. Sa main droite se resserra d’elle-même sur le pommeau de l’épée qu’elle tenait.

"Il faudrait aller voir dans les maisons non ?"

Peut-être que quelqu’un de vivant était dedans ou alors qu’ils y auraient des cadavres. Au moins cela les fixerait. Et s’il y avait personne, il faudrait continuer à chercher

Mis à part les maisons qui s'alignaient les unes après les autres, un silence de plomb, de mort même, régnait sur le village (c'est bien un village hein?). Il n'y avait actuellement aucune trace de violence. Juste des débris de verre et de poterie sur le sol, des soies déchirées jonchant le sol et des traces de luttes, de sang et de pas. Gloups.

"Euh je sais pas..."

(je te laisse posté avec géné? je maitrise pas l'environement... ><)

Le silence intense qui régnait dans le village ne semblait ni troublé ni inquiéter Génésis. En temps que première classe, autant lui que Séphiroth, avait été envoyé un mission dans des endroit bien glauque. Mais il n’était pas dur de deviner que les deux protégées étaient quelque peu déstabilisées.

"Les maisons sont secondaires. Allons d’abord voir à l’hôpital."

En effet bien que Mideel ne soit qu’un petit village, il possédait un hôpital, chose plutôt logique puisque la petite île était assez éloignée du continent le plus proche. De plus l’hôpital était reconnaissable au milieu des maison, et malgré qu’il venait pour la première fois à dans ce village, il se dirigea sans hésitation vers le bâtiment. La porte était une de ces portes en verre automatique comme celle des magasins, et visiblement l’électricité du village avait été coupée. Grâce à une materia qu’il avait équipé, il fit foudre le verre de la vitre pour rentrer à l’intérieur…
Mais là, encore plus qu’ailleurs planait ce silence funeste qui n’indiquait qu’une chose…Aucun être vivant n’était dans les parages à part eux-mêmes.